MECKLEMBOURG, à la conquête des royaumes par les femmes  (1592 - 1918)

En 1621, lors d'une seconde partition du Mecklembourg, Adolphe Frédéric Ier laissa Güstrow à son frère, Jean-Albert II. Au cours de la guerre de Trente Ans ils furent tous les deux déposés en 1628 par l’empereur Ferdinand II pour avoir soutenu la cause de Christian IV de Danemark. Néanmoins, les troupes suédoises les réit trois ans plus tard à la tête de leurs domaines.

À la mort sans enfant du duc Christian-Louis Ier, en juin 1692, son demi-frère Adolphe-Frédéric II et son neveu Frédéric-Guillaume Ier revendiquent la succession. Trois ans plus tard, l’extinction de la ligné des princes de Mecklembourg-Güstrow avec la mort de Gustave-Adolphe renforce le conflit. L'empereur, le roi de Suède et le margrave de Brandebourg décident d'intervenir. En 1701, le traité de Hambourg entérine la division définitive du pays en deux duchés : celui de Mecklembourg-Schwerin qui échoit à Frédéric-Guillaume, et celui de Mecklembourg-Strelitz à Adolphe-Frédéric. Le principe de primogéniture est réaffirmé.

Mariages royaux pour ces demoiselles

Les liens avec le Danemark se poursuivront :

Mais d’autres cours royales sont également concernées

Pour les garçons, les mariages se font plutôt à l’Est avec la Russie et la Prusse

 du coté Schwerin tandis que la branche Strelitz favorise la Grande-Bretagne.